STOCKHOLM (Reuters) – Une assistante sociale suédoise a joué sur le principe de la publicité, même négative, pour illustrer l’adage: “En bien ou en mal, l’essentiel c’est qu’on en parle”.
AW, 30 ans, a fait passer dimanche dans son quotidien régional une publicité proclamant “Je veux un travail bien payé. Je n’ai pas d’imagination, je suis anti-sociale, pas créative et sans talent.”
Son téléphone n’a cessé de sonner depuis, et les propositions d’emploi affluent.
“J’ai tout tourné à l’inverse. J’étais fatiguée de faire les choses comme il faut”, a-t-elle expliqué lundi dans l’édition internet d’un quotidien.
Elle a déjà un rendez-vous mercredi pour un entretien avec une société appelée qui lui propose un salaire mensuel de de 2.000 euros, une rémunération supérieure de 30% à celle de son poste actuel d’aide à des personnes âgées.
Article du dessus : Source “je meclate”
Commentaire de l’équipe Satellite :
Comme quoi le travail c’est la santé quoiqu’on en dise.
Même les idées les plus farfelues sont utilisées pour trouver un job
Un job, c’est pour vivre…survivre… déjà pour la partie matérielle
Puis la partie “morale”….C’est la santé qui pourrait être affectée
Sauf si on gagne au Loto ou on est rentier… Mals là, c’est l’oisiveté qui guette aussi